Dur-dur les livraisons à domicile chez IKEA

 

Ikea

 

 

 

Notre adhérente Mme F.achète une kitchenette à IKEA Clermont-Ferrand. Les équipements étant volumineux, Mme F.opte pour une livraison à domicile et le coût global de l’achat et de la livraison ressort à  450 €.

Le vendeur note le numéro de téléphone et les coordonnées de la cliente .À la sonnette du logement, est encore mentionné le nom du locataire puisque le logement était loué.

La date de livraison est fixée le 8 février à 10h et la cliente doit se lever ce jour-là à 5 heures du matin car le logement est situé à Clermont-Ferrand et la cliente habite la Nièvre.

Entretemps, elle a lu dans la revue 60 Millions de consommateurs  un article sur les avatars d’IKEA dans le domaine des livraisons à domicile en raison de mauvaises coordinations avec leurs transporteurs qui sont leurs sous-traitants.

Elle est loin d’imaginer qu’elle va connaître les mêmes problèmes.

Lors de la première livraison, le vendeur ayant constitué son dossier à l’origine se trompe dans la transcription de son numéro de téléphone de sorte que lors de la livraison le transporteur se présente au logement concerné mais ne parvient pas à joindre la cliente, tant par appel téléphonique qu’à l’entrée de l’immeuble puisque la sonnette est au nom du locataire.

Quelques jours plus tard, IKEA fixe d’autorité un autre jour de livraison durant lequel la cliente est indisponible. Malgré ce signalement par la cliente, le transporteur se présente sans succès à l’appartement de la cliente.

Un mois après, on finit par trouver une nouvelle date de livraison mais la cliente insiste pour être livrée le matin car il lui faut venir de la Nièvre et elle doit pouvoir disposer de toute sa journée pour monter sa kitchenette.

Le transporteur se présente à 16h de sorte que la cliente aura tout juste le temps de faire l’inventaire exhaustif du matériel  mais repartira dans la Nièvre avec un équipement inachevé l’obligeant à revenir une 3e fois à Clermont-Ferrand.

Nous intervenons par lettre recommandée avec accusé de réception pour obtenir un dédommagement de 200 €, suivant un chiffrage de préjudices justifié.

 IKEA fera la sourde oreille et ce n’est qu’au terme d’une seconde lettre insistante avec menace de publier un article sur notre site Internet que l’Etablissement consent à offrir à la cliente un bon d’achat de 260 € qui met fin au litige.

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